**************************************************************************************************************************
« Pour nous, les luttes ne sont pas un environnement douillet, une toile de fond destinée à mettre nos idées en valeur, elles sont le problème. Et si nous n’y sommes jamais complètement chez nous, même quand nous y participons, c’est que dans cette société il n’y a pas de place pour le communisme. Les questions que nous posons aux luttes telles qu’elles sont, nous les posons du point de vue du dépassement et de la rupture, du point de vue de ce qui craque, du point de vue des tensions et des déchirements, et ça n’est jamais confortable. » Carbureblog
***************************************************************************************************************************
SÉNÉGAL
Des casseurs « qui ont faim »
« Le pillage et le saccage d’enseignes françaises mais aussi sénégalaises, qu’il déplore, seraient bien davantage le fait de casseurs « qui ont faim » que le résultat d’un acte aux « motivations politiques »…
Un évident effet d’aubaine a pu animer de nombreuses personnes à l’idée de repartir d’un supermarché les bras chargés de courses gratuites, alors que les restrictions imposées depuis un an pour juguler la pandémie de Covid-19 ont sérieusement affecté les bourses des ménages. »
« Il faut reconnaître que ces émeutes étaient aussi des émeutes de la faim. »
« Ousmane Sonko a été l’étincelle, mais il a été dépassé par l’ampleur des manifestations. Il faut reconnaître que ces émeutes étaient aussi des émeutes de la faim. Le secteur privé est sinistré. Le deuxième confinement a été le coup de grâce pour beaucoup de commerçants et on a vu aussi dans des quartiers plus nantis des fonctionnaires participer aux pillages des supermarchés »…
« Il y a un an, notre gouvernement a paniqué, a parlé comme en Europe de guerre, mais avec les interdictions de circuler entre régions, la fermeture des frontières et le couvre-feu, notre économie a été mis en congés, dit-il. Le président a fait adopter un plan de 1 000 milliards de francs CFA mais où 60 % des ressources devaient venir de l’extérieur. La diaspora, dont les versements représentent entre 10 et 12 % du PIB, fait aussi face à ses propres problèmes. Le monde rural, en dehors du secteur de l’arachide, a été sinistré, comme le tourisme. En septembre 2020, déjà 85 % des familles interrogées par l’Agence nationale de la statistique et de la démographie expliquaient que leurs conditions de vie s’étaient dégradées. Rien que pour le premier semestre 2020, on a recensé 2 millions de pauvres supplémentaires et 40 000 personnes ont perdu leur emploi. »
Le chômage des jeunes, en particulier, est une bombe à retardement, toujours prête à exploser dans les rues ou à se noyer en mer
« Faut-il craindre des émeutes de la faim ? » article de mars..2020
« Quand les mécaniciens ne voient plus de clients pour se faire quelques sous, quand les conducteurs ne sont plus hélés par les usagers, quand les marchés communaux ferment boutique pour cause de Covid-19, il ne faudra pas plus pour que la bombe sociale éclate. »
*****************************************************************************************************************************
LIBAN
« Le tarif du pain au kilo a plus que doublé depuis mai 2020. Selon les nouveaux prix annoncés mardi soir par le ministère de l’Economie, un sac de pain de 960 grammes coûtera désormais 3.000 livres libanaises –contre 2.500 livres auparavant, rapporte l’agence nationale d’information ANI….
L’inflation annuelle a atteint 145,8% fin 2020, selon des statistiques officielles. Début mars, le prix de la viande avait augmenté de 110% sur un an et celui du poulet de 65% (Banque mondiale). »
***************************************************************************************************************************
MYANMAR
Les militaires exercent une pression sur les banques privées pour qu’elles rouvrent – ou bien
Le gouvernement militaire et la Banque centrale du Myanmar multiplient les menaces contre les banques de briser une grève qui a paralysé le secteur, la plus grande banque privée du pays indiquant qu’elle fait face à des menaces de nationalisation ou de réouverture forcée…
la plus grande banque privée du pays, KBZ, a envoyé une lettre à ses 18 000 employés, suggérant qu’elle était confrontée à la perspective d’une nationalisation ou que la Banque centrale rouvrait de force ses succursales…
«Nous comprenons que beaucoup d’entre vous préféreraient que nous ne rouvrions pas. Cependant, la réalité est que vos intérêts et ceux de nos clients sont mieux servis si nous prenons la voie de l’ouverture de la banque nous-mêmes, et non par une partie externe, et restons en tant que banque privée. »
Même si les banques souhaitent rouvrir davantage de succursales, elles seront confrontées à d’énormes défis, notamment pour convaincre le personnel de revenir. Plusieurs d’entre eux ont déclaré à Frontier qu’ils n’avaient pas l’intention de retourner au travail tant que l’armée était toujours en charge….
Ceux qui choisissent de ne pas travailler bénéficieront de trois jours de congé payé, après quoi ils seront mis en congé sans solde. Après 30 jours de congé sans solde, le personnel «sera traité conformément à la législation du travail», indique la lettre, suggérant que leur emploi peut être résilié…
«Jusqu’à présent, nous avons été payés. »
« Les habitants de certains cantons de Yangon sont contraints d’enregistrer les personnes qui restent chez eux
Le canton est l’un des principaux centres industriels du Myanmar et abrite donc de nombreux militants syndicaux, qui ont été à l’avant-garde de la lutte pour renverser le régime de Min Aung Hlaing.
Aujourd’hui, après avoir subi la pire des violences militaires depuis le coup d’État, beaucoup ont reculé. La majorité des travailleurs qui ont émigré vers le canton depuis les zones rurales sont retournés dans leur ville natale depuis la semaine dernière.
«Il n’y a plus de jeunes, ils ont fui» »
La junte menace de suspendre le personnel de l’éducation en grève
« Le régime militaire a averti tous les travailleurs de l’éducation participant à la grève générale du Mouvement de désobéissance civile (CDM) qu’ils seraient temporairement licenciés s’ils ne retournaient pas à l’école lundi 23 mars. »
https://www.myanmar-now.org/en/news/junta-threatens-to-suspend-striking-education-staff
Après une semaine de guerre, un silence abasourdi s’installe sur la périphérie ouest de Yangon
Une grande partie de Hlaing Tharyar, une commune de la banlieue ouest de Yangon, est étrangement calme ces jours-ci. La plupart des magasins sont fermés et de nombreuses rues sont vides. Ici et là, de la fumée noire monte dans le ciel à cause des pneus en feu, et à la plupart des intersections, des barricades rappellent qu’il s’agit d’une zone assiégée.
Des milliers d’habitants de Hlaing Tharyar l’ont abandonné pour la sécurité relative de leurs villes natales. La plupart sont des migrants des zones rurales, attirés par les usines des zones industrielles du canton. Maintenant qu’il est devenu davantage une zone de guerre, il n’y a guère de raisons pour eux de rester…
Usines en flammes
Beaucoup pensent que Hlaing Tharyar a été pointé du doigt pour un traitement particulièrement brutal en raison des incendies qui ont éclaté dans un certain nombre d’usines appartenant à des Chinois dans les zones industrielles du canton. Mais les habitants rejettent les affirmations selon lesquelles des civils seraient responsables de ces incendies.
«Il y a des rumeurs selon lesquelles des gens qui vivent ici ont mis le feu à ces usines. Mais ils sont encerclés par des troupes qui tireront sur quiconque s’approche. Comment pourrions-nous faire le tour des usines incendiées? C’est évident si vous y réfléchissez »…
«Les gens ont peur de vivre ici maintenant. Certains sont partis parce qu’ils ont perdu leur emploi et d’autres parce qu’ils ne se sentent plus en sécurité. Ils ont commencé à retourner dans leur ville natale le week-end dernier, et vous pouvez voir par vous-même que beaucoup fuient encore »
« La bataille de Hlaing Thar Yar »
« Dans cette banlieue de Rangoun, le fragile équilibre qui prévalait entre des milliers d’ouvriers birmans et des entreprises chinoises de textile a volé en éclats….
La bataille de Hlaing Thar Yar a marqué un tournant dans le mouvement de résistance birman. Le 14 mars, après plus d’un mois de grève générale, des centaines d’habitants du quartier et d’ouvrières s’étaient réunis pour manifester au milieu des usines, comme ils l’avaient déjà fait à plusieurs reprises. Certains étaient armés de sabres, de cocktails Molotov et de lance-pierres, prêts à en découdre avec les militaires.»
L’explosion de l’industrie textile
« Même si c’est un piège de l’armée, nous n’avons plus d’autre choix que de nous battre. Ils nous tirent dessus lorsque nous manifestons pacifiquement. Si nous ne gagnons pas, ceux qui sont morts l’auront été en vain », nous avait dit, la veille du défilé, Su Nwe, 25 ans, serveuse dans un restaurant chinois du quartier. Ce jour-là, Mahn Win Khaing Than, le vice-président du gouvernement en exil formé par les parlementaires de la Ligue nationale pour la démocratie (NLD), avait déclaré sur Facebook que « le peuple birman a le droit à l’autodéfense ». A la mi-journée, le 14, les manifestants ont été accueillis par des tirs de sniper et d’armes automatiques.
Hlaing Thar Yar abrite quelque 700 000 migrants, principalement des ouvriers du textile vivant dans le plus grand bidonville de Birmanie. Séparée de Rangoun par la rivière Hlaing, la banlieue se partage entre les imposants hangars gris des usines, qui ont poussé un peu partout ces dernières années, les dortoirs et huttes en bambou déployés le long des routes ou sur les berges de la rivière. Le district accueille également plusieurs terrains de golf, appréciés des militaires, et le luxueux condominium FMI City, où habitent les gérants chinois des usines et d’autres entreprises chinoises de Rangoun.
La zone est un condensé des effets de la démocratisation entamée en 2011 et brutalement stoppée par le coup d’Etat du général Min Aung Hlaing, le 1er février 2021. Les exportations de textile ont explosé, passant de 900 millions de dollars (657 millions d’euros) en 2012 à 5 milliards de dollars en 2019 et représentant 30 % des exportations totales du pays. Le secteur emploie 600 000 travailleurs, dont 80 % de femmes majoritairement venues des campagnes.
Si 60 % des investisseurs sont chinois, 75 % des exportations sont à destination de l’Union européenne et du Japon, facilitées par l’exemption de droits de douane vers l’Europe dans le cadre de l’accord « tout sauf les armes » de 2013, qui a marqué la fin des sanctions européennes. Rien n’incarne mieux la « démocratie disciplinée » voulue par l’armée que ces ouvriers birmans employés par des capitaux chinois, pour le marché européen, sous le regard des généraux jouant au golf, dans un équilibre fragile qui a désormais volé en éclats.
Les conséquences d’un incendie dans une usine de confection chinoise à Hlaingthaya, Yangon. Photo: AFP
Usines brûlées
Car face aux canons des soldats, les grévistes ont pris pour cible les usines chinoises. Sur les réseaux sociaux, les travailleurs avaient prévenu avant la manifestation : « Pour chaque manifestant tué nous brûlerons une usine ». Selon le quotidien chinois Global Times, « trente-deux usines ont été vandalisées » dans des attaques ce jour-là. Mais le chiffre n’a pu être vérifié, les journalistes locaux n’ayant pas pu s’y rendre. Le sentiment antichinois est largement partagé au sein de la population birmane, et la mauvaise réputation des patrons chinois (manque de toilettes, horaires prolongés et répression des syndicats) ne fait rien pour arranger les choses. »
Des ouvrières rebelles
« Les travailleurs des secteurs privé et public ont joué un rôle déterminant dans le mouvement contre le coup d’État. Les ouvriers du vêtement et autres ouvriers du commerce ont été à l’avant-garde de nombreuses manifestations, tandis que les fonctionnaires ont paralysé le gouvernement militaire en se mettant en grève en masse.
«Les ouvriers ont toujours combattu activement pour la justice. La dictature militaire est basée sur un système injuste et nous, ouvriers, avons un esprit puissant pour lutter contre toute injustice», dit-elle, ajoutant que les syndicats étaient déjà beaucoup plus organisés que les autres groupes civils…
Une militante féministe dit que les travailleuses sont « la seule force politique avec une base de masse » et convient qu’elles ont pu s’organiser beaucoup plus efficacement et beaucoup plus rapidement. …
« La majorité des travailleurs sont également des femmes, âgées d’à peine 16 ans, originaires de différentes régions du pays. (…) Le 6 février, celles qui sont sorties dans la rue pour lutter contre la junte militaire étaient ces jeunes ouvrières d’usine », dit-elle.
« Personne n’a reconnu que les ouvriers de l’usine avaient par la suite catalysé les manifestations de masse dans les rues de Yangon. »
*************************************************************************************************************************
Lettre de Grèce
« Depuis l’automne, le sujet social « jeunesse », expression mystifiée pour désigner le jeune prolétariat et la jeune classe moyenne, descend dans la rue de deux manières, brisant l’interdiction de manifester : D’une part, sous la forme de manifestations de quartier organisées par des associations de supporters de football ; d’autre part, sous la forme de manifestations d’étudiants contre les nouvelles mesures de maintien de l’ordre dans les universités, qui, entre autres, touchent directement la reproduction des médiations de gauche, puisque la plupart de leurs membres sont issus du monde universitaire. Et tout cela dans un contexte d’augmentation relative de la présence des « jeunes » dans l’espace public, sur les places, etc. en réaction à l’étouffement des mesures restrictives. »
**************************************************************************************************************************
UK
les manifestants « Kill the Bill » affrontent la police
troisième manifestation «tuer le projet de loi» en une semaine.
« Dix personnes ont été arrêtées vendredi 26 dans la ville de Bristol, dans le sud-ouest de l’Angleterre, après que les manifestations contre un nouveau projet de loi sur la police soient devenues violentes avec des personnes jetant des bouteilles en verre et des briques sur des policiers, a indiqué la police dans un communiqué.
Des milliers de manifestants ont convergé vers le centre-ville, ignorant les restrictions du COVID-19, pour protester contre un projet de loi du gouvernement soumis au parlement qui donnerait à la police de nouveaux pouvoirs pour restreindre les manifestations de rue
La police a utilisé des chiens, des chevaux, des fourgonnettes et un hélicoptère pour ramener les foules dans le centre-ville lors d’une opération qui a duré jusqu’à 1h du matin. Certaines personnes ont été traitées pour les effets du gaz poivré. »
« Les flics de Bristol admettent tranquillement qu’aucun officier n’a subi de fractures lors de la manifestation de dimanche contre le projet de loi »
My god !
« scènes horribles à Bristol »
« Une manifestation contre un projet de loi renforçant les pouvoirs de la police a dégénéré dimanche 21 mars à Bristol, dans l’ouest de l’Angleterre, et plusieurs policiers ont été blessés…
A la suite d’une manifestation contre un projet de loi prévoyant notamment d’accroître les pouvoirs de la police face aux manifestations non violentes, des centaines de personnes ont convergé autour du commissariat de Bridewell. Deux policiers ont été hospitalisés, l’un a eu un bras cassé et l’autre souffre de côtes cassées..
Deux véhicules de police ont été incendiés et des dégâts commis à l’extérieur du commissariat… »
Réflexions sur l’émeute à Bristol
« On a déjà parlé de la « gauche optique ». Et oui, il a été sinistrement glaçant, bien que peu surprenant, de voir les députés travaillistes, si lents à condamner la violence policière lors de la veillée de la semaine dernière, se rendre indiscernables de Priti Patel. Nous ne devrions jamais oublier que l’actuel leader du parti travailliste a brutalement réprimé des émeutiers en 2011 lorsqu’il était directeur des poursuites publiques. Les condamnations disproportionnées et les tribunaux ouverts 24 heures sur 24 sont dans son sang »
Les émeutes de 2011
**************************************************************************************************************************
FRANCE
Avec la réforme de l’assurance-chômage, l’allocation de 1,15 million de demandeurs d’emploi pourrait baisser la première année
« L’une des dispositions prévues, qui doit entrer en vigueur à partir du 1er juillet, pourrait entraîner une baisse de l’allocation pour quelque 1,15 million de demandeurs d’emploi, au cours des douze premiers mois durant lesquels cette nouvelle règle s’appliquera. C’est ce qui ressort d’un document présenté mercredi 24 mars aux membres du bureau de l’Unédic, l’association paritaire copilotée par les partenaires sociaux qui administre le régime…
Parmi les chômeurs touchés par cette amputation de leurs ressources, 365 000 verraient leur allocation reculer de 885 euros net par mois à 662 euros, « en moyenne » toujours. »
**************************************************************************************************************************
Blog DDT21 : « Fugue en guerre civile »
« Il ne s’agit que d’un roman. Certes. Mais alors, mis à part le plaisir de la lecture, que ne procurent que rarement les livres politiques ou théoriques, à quoi peut bien servir un tel ouvrage pour un « révolutionnaire », un militant anarchiste ou un prolétaire qui cherche à comprendre le monde pour mieux participer à sa destruction ? À rien si l’on en croit les plus austères, à perdre un temps précieux pour les tièdes qui ne feuillettent que ces romans engagés (de gauche) fort « utiles » mais avec lesquels on ne risque pas trop de sortir des clous… activité pourtant fort appréciable. La littérature offre justement ce genre de possibilités, celle du pas de côté qui dévoile un angle de vue inédit, celle de l’irruption de questions incongrues, obscènes ou dérangeantes que la théorie critique ne peut croiser (et auxquelles, éventuellement, l’auteur n’aurait pas pensé). Davantage de questions que de réponses, voilà qui est stimulant, et voilà ce que nous offre Vivonne en surplus d’un récit fort bien ficelé et attirant ».
https://ddt21.noblogs.org/?p=3170
****************************************************************************************************************************
le Mexique est revenu à des niveaux de pauvreté correspondant à il y a 10 ans.
« La principale constatation est qu’en cette année de pandémie, une augmentation de 8,9 à 9,8 millions de personnes en situation de pauvreté monétaire est estimée ; Avec cela, nous avons qu’en 2020, le Mexique a accumulé 70,9 millions de pauvres par revenu (56,7% de la population)…
Cela signifie qu’un Mexicain sur quatre vit actuellement dans une pauvreté extrême en raison de son revenu. »
« Près de six Mexicains sur dix (plus de 57%) n’ont pas de sécurité sociale , un facteur qui protège leurs bénéficiaires dans des cas tels que maternité, maladie, invalidité, décès, risques professionnels et surtout en cas de départ à la retraite.
Des conditions telles que l’informalité et la précarité de l’emploi ainsi que les bas salaires conditionnent l’accès des Mexicains à la sécurité sociale. En août 2019, 56,3% de la population occupée occupait un emploi informel, selon les dernières données de l’Enquête nationale sur la profession et l’emploi des Inegi. »
*****************************************************************************************************************************
Coronavirus à Milan, file d’attente record pour un colis de nourriture devant le siège du Pane Giornale
********************************************************************************************************************
liremarx
« Site de diffusion de marxologie et de théorie critique matérialiste ayant pour but la mise à disposition d’un aperçu des publications, aussi complet et actuel que possible sur: les éditions de Marx et Engels, les publications sur les aspects politiques, philosophiques, économiques, entre autres, des travaux de Marx et Engels, des recherches biographiques sur Marx et Engels ainsi que du matériel permettant la lecture de ces auteurs. »
https://liremarx.noblogs.org/?cat=162
************************************************************************************************************************