Mois: mai 2017
« Nous sommes les oiseaux de la tempête qui s’annonce » le 27 mai 2017
Mai 1967 à Pointe-à-Pitre : « Un massacre d’Etat »
Le 26 mai 1967, à Pointe-à-Pitre, les ouvriers du bâtiment se mettent en grève
http://www.humanite.fr/mai-1967-pointe-pitre-un-massacre-detat-636544
extraits
Ils demandaient une augmentation de leurs salaires de 2,5%, augmentation qui leur a été refusée lors des négociations du 26 mai. C’est à la suite de cela qu’ont débuté les incidents qui se sont transformés en rébellion et en émeutes.
Que s’est-il passé les 26 et 27 mai 1967 ?
La foule apprenant que les négociations entre syndicats et patrons n’ont pas abouti, lance des projectiles sur les policiers et les CRS, blessant certains d’entre eux. Dans ces affrontements est tué Jacques Nestor, l’un des membres du GONG (organisation indépendantiste créée en 1963, ndlr), figure très populaire auprès de la jeunesse guadeloupéenne de l’époque. Pour les jeunes, la mort de Nestor est insupportable et les choses dégénèrent rapidement. Deux armureries sont pillées et les gendarmes tirent à vue. Officiellement, il y a eu huit morts, mais ce chiffre est certainement sous-estimé.
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« Nous sommes les oiseaux de la tempête qui s’annonce » le 20 mai 2017
FRANCE
Les Illusionistes
Dans l’usine « piégée » des GM & S
extraits
Devant les caméras, plusieurs salariés se sont relayés au chalumeau pour détruire un élément de presse d’une dizaine de mètres de long, servant à l’emboutissage de carters. Un outil « à 250 000 euros ».
« C’était une vieille machine jamais utilisée, on l’a repeinte en vitesse pour donner l’illusion que c’était un outil important de Renault », explique un employé de la maintenance. Lui dit avoir eu « les boules » quand il a entendu certains les traiter « de casseurs irresponsables »
En réunion informelle, mercredi, ils sont revenus sur leur annonce de détruire un outil par jour tant qu’ils n’auraient pas de réponse sur l’avenir du site.
« Nous sommes les oiseaux de la tempête qui s’annonce » le 13 mai 2017
CHINE
Protestations dans la province de Guangdong, dans le sud de la Chine, contre une usine d’incinération de déchets
extraits en traduc google
Quelque 20 000 habitants du canton de Feilaixia, près de la ville de Qingyuan, dans le Guangdong, ont pris la rue après plusieurs jours de protestations et malgré les affrontements avec la police anti-émeutes.
« Les taxis et les magasins, d’autres entreprises, tout le monde est en grève »
» Ils tiennent des barricades … les populations locales se sont mobilisées pour aider ; Il y a des véhicules qui distribuent de la nourriture et de l’eau aux manifestants au cas où ils se déchaîneraient «
« Plusieurs milliers de personnes étaient restés dans la rue pendant la nuit malgré les tentatives de dispersion de la police »
Lettre d’info du 6 mai 2017
CHINE
Affrontement de villageois avec la police anti émeutes
28 avril 2017
Des vidéos ont émergé d’un affrontement entre la police et les villageois au Guangxi jeudi après-midi.
Les affrontements se sont produits au village de Liang dans le district de Yongning de Nanning, la capitale de la région autonome de Guangxi Zhuang, selon les médias sociaux.
« ils ( la police anti émeutes) ne laisseront même pas les enfants et les personnes âgées partir! Beaucoup d’enfants ont été battus avec des matraques électriques … «
Le gouvernement a envoyé environ 1 000 policiers anti-émeutes et d’autres membres du personnel de sécurité pour faire face aux manifestations, ce qui a amené près de 6 000 manifestants dans la rue …
la viédo a montré que les villageois lançaient des objets qui semblaient être des pierres sur la police et qu’ils utilisaient des pointes et des tiges de bambou pour les faire reculer. Des milliers de personnes semblaient être présentes. Un villageois a confirmé la véracité de la vidéo avec HKFP.
et pour plus d’infos sur les émeutes en chine :
lettre d’info du 29 avril 2017
Les émeutes de 1967 à Hong Kong
« Les emplois étaient rares et les employeurs pouvaient choisir ceux qu’ils voulaient. C’était l’enfer »
Extraits en traduc google
Cinquante et un personnes tuées et plus de 800 blessés. Plus de 8 000 « bombes » ont explosé (la plupart dans des explosions contrôlées), dont près de 1 100 étaient réels. Ce sont des chiffres qui seront évoqués dans les prochaines semaines, car Hong Kong marque 50 ans depuis le début des plus grandes et les plus violentes perturbations de masse de l’histoire de la ville.
« Les coteaux étaient couverts de bidonvilles où ils n’avaient pas d’eau courante ou de toilettes », rappelle James Elms, un inspecteur de police à l’époque. «Les emplois étaient rares et les employeurs pouvaient choisir ceux qu’ils voulaient. C’était l’enfer, mais d’une façon ou d’une autre les gens ont survécu. Ce fut un terrain fertile pour nourrir un esprit de mécontentement.
Au début de 1967, l’impact de la Révolution culturelle, qui avait débuté en Chine au milieu de l’année précédente, se faisait sentir à Hong Kong. Les travailleurs d’usine ont été licenciés avec un sentiment d’injustice. Des émeutes procommunistes ont éclaté à Macao en décembre précédent et en mai 1967, l’escalade d’un conflit de travail dans une usine de fleurs artificielles à San Po Kong, à Kowloon, a marqué le début des affrontements qui secouent Hong Kong.
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